Revue SALAMANDRE : Vous avez dit lézard ?
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Revue SALAMANDRE n° 264 Vous avez dit lézard ?
Les éditions de La Salamandre (juin-juillet 2021) 65 pages.
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La Revue Salamandre, magnifique magazine que je découvre grâce à une Masse Critique de Babelio, m’a permis de lire de très intéressants reportages et d’admirer de superbes photos, tableaux et dessins.
J’avais coché cette revue, attiré par son principal sujet : les lézards. Mon petit-fils, Albin (8 ans et demi), m’avait étonné au sortir de l’hiver, avec son attrait pour ces petites bêtes surgissant sur un rocher ou un mur, profitant du moindre rayon de soleil puis disparaissant subitement. C’était devenu un jeu, au cours de nos balades : compter les lézards, le summum étant atteint lorsqu’un lézard vert se laissait surprendre.
Avec la Revue Salamandre, je n’ai pas été déçu car le dossier principal est étoffé, varié, documenté. C’est bien sûr le lézard des murailles qui tient la vedette mais ce mini-varan laisse un peu de place à ses cousins. Ainsi, j’ai pu faire connaissance avec le lézard vivipare qui s’épanouit en Irlande et en Russie mais aussi avec le lézard des souches, le gecko dont le nom exact est la tarente de Maurétanie. J’ai eu le plaisir de retrouver l’orvet, ni ver de terre ni serpent. Ce serpent de verre est bien de la famille des lézards et cela fait longtemps que je n’en ai pas vu.
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Le lézard vert n’est pas oublié avant un bilan très intéressant à propos du dérèglement climatique causant une hausse des températures pas forcément favorable à ces reptiles qui souffrent lorsque le thermomètre dépasse les 32 °. En effet, ces sympathiques petites bêtes ne peuvent pas réguler la température de leur corps et doivent s’adapter à celle de leur environnement.
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Ce numéro 264 d’un bimestriel qui existe depuis 1983, comme le rappelle Julien Perrot, son rédacteur en chef, parle aussi des busards, des ours des Pyrénées, des insectes qui savent marcher au plafond, des dunes du littoral, des tourbières, des lucioles, des aigles de la Côte Bleue près de Marseille, des couleuvres à inviter dans nos jardins et de la naissance d’une libellule.
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Dans les ramures du grand frêne permet de faire connaissance avec les œuvres du peintre vendéen Benoît Perrotin qui réussit à traduire en images l’harmonie subtile entre l’arbre et l’oiseau.
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Vraiment, je me suis régalé avec cette Revue Salamandre, régalé les yeux tellement les illustrations sont de grande qualité et régalé avec la quantité d’informations très concrètes données au fil des pages.
Je remercie vivement Babelio et les éditions de la Salamandre pour ce magazine et je sais à qui je vais maintenant le faire découvrir…
Jean-Paul