J.K. Rowling : Harry Potter 1. À l'école des sorciers

Harry Potter  1.     par     J.K. Rowling.

À l’école des sorciers.

Folio junior (2021) 311 pages ; Gallimard Jeunesse (1999) 240 pages.

Traduit de l’anglais par Jean-François Ménard.

Titre original : Harry Potter and the Philosopher’s Stone.

 

 

 

Il fallait bien qu’un jour ça arrive, depuis le temps que j’en entendais parler… Une amie bibliothécaire m’en avait vanté les qualités mais, franchement, je n’avais pas envie de me plonger dans ces histoires de sorciers, de magie…

 

 

Enfin, il a fallu qu’Albin, mon petit-fils, se lance dans la lecture de cette impressionnante saga signée J.K. Rowling (photo ci-dessous) pour que mon attention en soit émoustillée. Mais cela ne suffisait pas.

 

 

Albin (9 ans) dévore toute cette histoire, a toujours son Harry Potter en cours à la main et quand je vois que certains tomes ont près de mille pages et même plus en version Folio junior, je suis vraiment impressionné.

 

 

Pourtant, je dois plaider coupable puisque, pour son dernier anniversaire, sa Mamie et moi avons complété sa collection…

 

 

Depuis, chaque fois qu’il est à la maison, il nous teste, nous apprend les noms des principaux personnages et même de ceux de second plan ou d’arrière-plan, nous pose des questions pour voir si nous les retenons… Je le fais même enrager en prononçant certains noms à la française comme celui d’Hermione Granger

 

 

Puis, un jour, il a eu l’idée de débuter la lecture à haute voix du tome 1 : À l’école des sorciers dont le titre anglais est encore plus précis puisqu’il parle de cette fameuse pierre philosophale que Harry, Hermione et Ron vont tenter de débusquer. Grands-parents consciencieux et captivés par l’histoire, nous l’avons écouté puis nous avons pris le relais allant jusqu’au bout de ce premier tome.

 

 

Je dois reconnaître que les aventures de ce jeune orphelin maltraité par son oncle et sa tante, relégué dans le placard à balais, méprisé par son cousin, Dudley, a de quoi émouvoir.

 

 

J.K. Rowling, à l’imagination débordante, superbement traduite par Jean-François Ménard, sait parfaitement tenir son lecteur en haleine. Harry Potter frôle souvent le pire, la catastrophe fatale avant de réussir à s’en sortir. Le suspense est complet dans chaque chapitre car les ennemis ne manquent pas pour ce garçon qui grandit et qui, enfin, apprend par Hagrid, le garde-chasse de Poudlard au physique impressionnant, qu’il doit rejoindre le château dirigé par le Professeur Dumbledore mais où la menace de « vous savez qui » est bien présente.

 

Suit tout le récit d’une année scolaire avec bien des surprises, les cours de sorcellerie, la Forêt interdite et ce fameux sport, le Quidditch, dans lequel Harry excelle comme attrapeur sur son balai volant. J’ai bien aimé Hermione Granger, camarade très consciencieuse et efficace de Harry, comme Ron ainsi que le géant Hagrid et je n’en dirai pas plus car je sais que, bientôt, nous allons débuter la lecture du tome 2 : Harry Potter et la chambre des secrets…

Jean-Paul

 

 

 

 

 

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